dimanche 4 décembre 2016

rando du 30 novembre 2016: de Plabennec au Folgoët


Eozen : Prénom masculin
Etymologie celtique : "iv", if ; Dates de Fête : 19 mai, Mémoire facultative en France - Saint Yves.
Région : Bretagne ;   Formes majeures du prénom : Yves.
Formes dérivées du prénom :
Earwin ;  Erwan(n) ;  Erwin ;  Erwine ;  Evan ;  Even ;  Ewan ;  Ewand ;  Ewen ;  If ;  Ifig ;  Irving ;  IviIvon ;  Von ;  Vonig ;  Yeun ;  Yoen ;  Youen ;  Yuna ;  Yvaine ;  Yvelin ;  Yveline ;  Yvelise ;  Yvi ;  Yvon ;  Yvonne.





Chapelle de Locmaria, Plabennec. Le site est occupé depuis la Préhistoire et à l’époque romaine. Puis une première chapelle y est édifiée au Xe siècle en dévotion à la Vierge Marie. Elle sera plusieurs fois agrandie et rénovée. Aux XVe et XVIe siècle, grâce aux revenus des fidèles, très attachés à ce lieu, un imposant clocher de 38 mètres de haut est édifié. Terminé en 1580, il domine, depuis cette date, la campagne plabennecoise. Dans le même temps, le calvaire et ses onze personnages, le maître autel en kersanton sont construits, faisant de l’ensemble une belle et grande chapelle avec son enclos. La chapelle est vendue comme bien national à la Révolution, l’ensemble est racheté par la Paroisse en 1828 puis restauré en 1841.




Vocation du site : Depuis 1976, l’association Mignoned Locmaria œuvre pour la préservation de la chapelle, elle anime et entretient le site en partenariat avec la commune. En plus du traditionnel pardon annuel de fin août, elle accueille tous les ans des concerts et expositions artistiques.




La chapelle de Locmaria dédiée à la Vierge Marie est située à 4 km au nord de Plabennec. Elle aurait été construite sur un ancien site gallo-romain, christianisé par Saint Tugdona au haut Moyen Âge. La chapelle actuelle, de style gothique, semble avoir été bâtie entre la fin du 12e siècle et le début du 16e siècle. A l’intérieur de l’édifice, jouxtant le majestueux autel en kersanton ciselé de 1512 et le retable en bois sculpté de 1682, on peut notamment admirer les douze statuettes féminines du 16e siècle qui autrefois ornaient avec élégance le porche de la chapelle. Son clocher mérite également l’attention du visiteur car il s’agit d’un remarquable clocher renaissance, épaulé de contreforts, décoré d’un double étage de beffroi terminé par une flèche pyramidale. A l’entrée du cimetière se dresse un très beau calvaire du 16e siècle comptant dix personnages ainsi que les blasons des familles du Duc de Rohan, des Carman–Lesquelen et des Carman-La-Forest. Abandonnée à la Révolution, il faudra attendre la deuxième moitié du 20e siècle pour que le site soit à nouveau véritablement mis en valeur grâce aux efforts de la municipalité et de l’association « Mignonned Loc-Maria ». Le pardon a lieu tous les ans le dernier dimanche du mois d’août.




La chapelle Saint-Ursin – Le Drennec. La chapelle porte sur l'un des contreforts du chœur la date de 1525, mais remonte probablement à une époque plus ancienne. Ses fonts baptismaux seraient la réutilisation d'une cuve gallo-romaine. Ceux-ci ont dix côtés, et, sur certaines faces, apparaissent des dessins. Trève de la paroisse du Drennec, Landouzan a été commune de 1790 à l'an VII (1798). Mal entretenue depuis la séparation de l'Église et de l'État, la chapelle tombe progressivement en ruine. Les boiseries entourant l'autel sont transférées à l'église paroissiale, ainsi que la statue de saint Ursin habillé en évêque. La statue de la Vierge avec l'Enfant Jésus est conservée à l'église Saint-Jacques de Brest, et celle de saint Pierre a disparu. Les pierres de l'ossuaire servent à réparer l'église de Léchiagat. La chapelle est restaurée par la suite mais reste vide.




 

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