Le 8 septembre, nous quittons Ahetze sous une forte pluie et rejoignons Bidart que nous visitons
succinctement, notamment l’Église Notre-Dame-de-l'Assomption. Puis au niveau de
la plage de la Milady à Biarritz, nous sommes passés devant la Cité de l’Océan
qui a vocation à expliquer l’océan. Impossible de ne pas aller saluer la Vierge
sur son rocher en face du Musée de la Mer, aquarium de Biarritz.
Ensuite, nous
traversons la Chambre d’Amour et Chiberta pour atteindre Bayonne où une
surprise de taille nous attendait : au niveau de la mairie de Bayonne,
nous étions tous les quatre à attendre que le feu du passage piétonnier passe
au vert, et à ce même endroit attendait Michel et Betty, avec sa sœur Nicole,
des amis de mon ami Jean-Marie que je n’avais pas vus depuis très longtemps. Ce
fut un moment de grand bonheur, des retrouvailles improbables, inattendues et
fort chaleureuses.
Il a fallu se quitter pour rejoindre Capbreton puis
Seignosse où un mobilhome du camping entre l’Étang Noir et l’Étang Blanc nous
attendait.
Bidart, dans le département des Pyrénées-Atlantiques est en
région Nouvelle-Aquitaine. Elle s’est développée sur près de cinq kilomètres du
littoral atlantique et sa façade maritime se distingue par de longues falaises
fortement plissées surplombant quelques plages. Limitrophe de Biarritz, elle se
trouve à quelque vingt-cinq kilomètres au nord de la frontière
franco-espagnole.
Le rocher de la Vierge est une curiosité naturelle
touristique en forme de longue coque de navire, surplombée par une statue de la
Vierge. C'est un monument emblématique de la ville de Biarritz dans les
Pyrénées-Atlantiques. Du haut de ce rocher, on peut admirer toute la baie de
Biarritz, sa Grande Plage d’un côté et de l’autre, la côte basque jusqu’aux
Pyrénées.
Le rocher est situé sur la commune de Biarritz, entre le
Port-Vieux et le Port des pêcheurs. Les deux ports sont séparés par le rocher
de l'Atalaye, sommet du promontoire dominant la mer, qui servait de lieu
d'observation des baleines, et percé d'un tunnel de 75 mètres, creusé à
l'initiative de Napoléon III en 1864. Le rocher est accessible par une
passerelle ; il est possible de le traverser grâce à un tunnel.
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