Ecole de plongée de Saint-Mandrier

L'origine de l'Ecole de plongée remonte à 1860: les premières dispositions sont prises pour former les "mécaniciens-chauffeurs-scaphandriers" au sein d'ateliers centraux de la Flotte (actuellement atelier militaire de la Flotte), implantés dans les cinq grands ports militaires français.
C'est en 1873 "qu'un scaphandre sera désormais obligatoire pour tout navire s'éloignant des côtes françaises".
1910: création du certificat de scaphandrier.
En 1948, la compagnie de scaphandrier de l'Ecole des apprentis mécaniciens, installée à Saint-Mandrier depuis 1936, forme environ 60 scaphandriers lourds (pieds lourds) et 90 plongeurs autonomes équipés du nouvel appareil COUSTEAU-GAGNAN, chaque année.



1953: création du certificat de plongeur démineur.
1958: la compagnie de scaphandriers devient une unité indépendante sous le nom d'Ecole de plongée.
1960: l'Ecole de plongée et le Centre d'application commando (C.A.C.) sont groupés sous le nom de "Centre d'Instruction et d'Entraînement à la Plongée" (C.I.E.P.)



1964: création de la spécialité de plongeur démineur.
1965: le C.I.E.P. est dissout et remplacé par l'Ecole de plongée.
Quatre cours de plongeurs:
   * plongeurs de bord
   * plongeurs démineurs
   * nageurs de combat
   * infirmiers hyperbaristes.
Depuis 1860, 10 000 plongeurs ont été formés dont 1 800 actuellement en service dans la Marine. On compte aujourd'hui 450 stagiaires par an.

DISPOSITIF DE PROTECTION DU PLAN D'EAU
Servent de brise-lames:
   * la coque de l'ex-Duqesne, ancienne frégate lance-missiles (D 603) depuis l'été 2009.
   * la coque de l'ex-bâtiment de soutien santé Rance (A 618) depuis l'été 2007.

Le sister-ship du Duquesne, la coque de la FLM SUFFREN (D 602) est devenue brise-lames à l'île du Levant.
Ces coques d'ex-bâtiments militaires seront remplavées à terme par des ouvrages maritimes.











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